Stephanie Dagenais Stéphanie Dagenais
Psychologue
Psychothérapeute accrédité en PCI

Affiliation professionnelle
Ordre des psychologues du Québec

Lieu de pratique
Laurentides – Sainte-Adèle
Téléphone : 819-507-0889

Courriel : stephanie.dagenais.psy@hotmail.com
Site internet : www.ordrepsy.qc.ca

Expérience

« Chaque Être humain, qu’il soit enfant, adolescent ou adulte, a besoin de se sentir vu, entendu et reconnu pour qui il est vraiment, au-delà de ses blessures et de ses comportements dérangeants. »

Membre de l’Ordre des psychologues du Québec, je pratique la consultation psychologique en bureau privé depuis 2001. Ma clientèle est composée d’enfants, d’adolescents et d’adultes. Ma spécialité ne se décrit pas par une problématique en soi mais plutôt par l’approche que j’utilise, soit la psychothérapie corporelle intégrée (PCI).

La PCI…
Cette approche intègre à la fois la dimension psychologique et corporelle. Ainsi, je n’écoute pas seulement le discours de la personne mais aussi son corps. Le but d’une telle approche étant de soutenir le processus de la vie.
Laissez-moi vous partager une analogie de Jean Mombourquette tirée de son livre « Aimer, perdre et grandir » qui illustre très bien le lien entre le corps et les émotions : « Quand le courant électrique risque de griller les fils, les fusibles sautent pour interrompre le courant. Quand survient une perte sérieuse, certains relais nerveux font défaut et coupent l’énergie; la perception de la réalité s’embrouille; même la vie des émotions s’en trouve paralysée. C’est une mesure qui empêche l’envahissement complet de l’être et qui lui permet de continuer à fonctionner. (…) La tragédie du choc, c’est que même une fois l’événement douloureux passé, la vie émotive demeure bloquée aux niveaux des muscles et des neurones; l’organisme reste crispé, la sensibilité s’atténue; (…) L’organisme s’est protégé en se couvrant d’une cuirasse à laquelle il s’habitue. La conscience du corps se fait obscure et insensible. L’armure de protection étouffe la vie qu’elle devait sauver ».
Ainsi, peu importe le motif de consultation ou l’âge de la personne, le but reste l’ouverture à soi pour une meilleure gestion de la vitalité.

Avec les adultes et les ados…
J’aide la personne à identifier ce qui limite son bien-être, que ce soit en termes de croyances, d’émotions mal vécues ou de blocages dans son corps, puis nous le travaillons à l’aide de différents outils tels la respiration; le mouvement; les techniques d’ouverture du corps; les frontières. La relation thérapeutique devient alors un lieu pour enregistrer de nouvelles mémoires dans le corps et alors, un sentiment plus grand de vitalité.

Avec les enfants…
En général, l’approche avec les enfants est davantage éducative. Il s’agit principalement de les aider à développer des habiletés qui leur permettront de mieux gérer leurs émotions et par le fait même, leur bien-être intérieur et relationnel.
Ainsi, c’est à travers différents jeux, relaxations, visualisations, exercices, dessins, lectures… que l’enfant apprendra à développer sa présence; sa conscience corporelle et émotionnelle; son enracinement; sa capacité à contenir sa vitalité et ses émotions, son recours à l’utilisation de sa respiration, sa connaissance de lui et sa capacité à exprimer son vécu intérieur.

L’escalade dans le processus thérapeutique avec les enfants
Je reçois les enfants, un à un, au centre d’escalade Action Directe à Boisbrillant, à raison d’une fois par mois. La pratique de l’escalade à l’intérieur du processus thérapeutique constitue un atout bien intéressant et ce, pour plusieurs raisons. D’abord, elle permet d’observer l’enfant dans un milieu plus représentatif de son environnement scolaire et familial. Ensuite, puisqu’elle tend à éveiller des anxiétés, des déceptions, du plaisir et de l’excitation, elle permet de les aborder et de les travailler tout en faisant des liens avec ce que l’enfant vit à la maison ou à l’école. Aussi, le contexte d’escalade donnera aux enfants une motivation à exercer leurs habiletés puisqu’ils pourront mieux percevoir leurs utilités. Et enfin, c’est une excellente façon de s’enraciner dans son corps, de le sentir en mouvement ou de découvrir ses tensions….
Pour plus d’informations, Je vous suggère de lire l’article que j’ai écris à ce sujet au www.institutpci.com section publication.

Formations
J’ai été formé d’abord à l’Université de Sherbrooke au BAC en psychologie, puis à l’Université de Montréal à la Maîtrise en psychologie du Counseling. J’ai ensuite suivie la formation en PCI à l’Institut de Psychothérapie Corporelle Intégrée à Montréal (IPCI) et j’ai poursuivie avec la formation pour pouvoir l’enseigner.